Les entreprises doivent gérer un ensemble d’applications interconnectées et fluctuantes en bêta permanente. Le mode hybride, la multiplicité des infrastructures cloud (IAAS), font de la performance un enjeu toujours d’actualité. Les pratiques de vente et les modèles de paiement cloud ne vont pas dans le sens d’une réduction des coûts pour les entreprises établies. Aujourd’hui, les entreprises redécouvrent des développements spécifiques connectés par des API à des logiciels ERP (ou autres) en mode « boîte noire ».
Il est donc important pour les entreprises de maîtriser l’échelle de leurs architectures, leurs coûts, leurs performances. Il s’agit d’un archivage (technique, métier, de données, documentaire ou du système complet). Dans le même temps, les législateurs sont ambivalents : ils exigent la suppression des données personnelles (RGPD), qui est une forme d’archivage (jusqu’à leur suppression), mais aussi des exigences de traçabilité (parcours d’audit) et d’audit.
Les modes d’audit sont en pleine mutation. Pays SAF-T, SII en Espagne, et E-documents préfigurent un avenir dans lequel ce sont les détails de votre transaction qui seront analysés, comparés à ceux émis par vos homologues, et parfois validés ex-ante par les autorités.
Les systèmes d’information ne sont pas conçus pour ce niveau de détail. La capacité à répondre aux exigences des autorités avec un existant complexe est un métier en soi. Il est vrai que les solutions de protection se multiplient : signature électronique, blockchain, intelligence artificielle (pour l’analyse de documents non structurés par exemple). En fait, avec la technologie cloud et les consultants étrangers, les opportunités de fraude n’ont jamais été aussi grandes.
C’est là qu’intervient TJC avec sa gestion améliorée du cycle de vie des données.
- Archivage de la donnée ou du document, selon son cycle de vie applicatif, pour réduire le coût et améliorer les performances du SI.
- Supprimer les données lorsque requis (RGPD, droit à l’oubli, protection juridique).
- Répondre aux exigences des commissaires aux comptes et des autorités fiscales quel que soit le pays demandeur.
- Assurer la traçabilité, pallier la complexité ou l’insuffisance du SI en ces matières lorsque nécessaire.
Il est clair que réduire la disponibilité d’une donnée, l’éliminer ou la rendre disponible sont des tâches à la fois complémentaires et exclusives. C’est ce qui en fait un métier à part entière.
A l’heure où nous écrivons, nous venons de franchir la limite des 18 To de système de production archivé ou détruit sur un SI à 5 systèmes qui pèse aujourd’hui moins de 10 To. Si nous ne l’avions pas fait, ces systèmes ne seraient pas hébergés dans le cloud, leurs performances seraient incompatibles avec le niveau de service attendu par le client, et nous l’avons fait en garantissant la capacité à répondre aux demandes des autorités fiscales. Ce travail facilite l’activation de la règle RGPD. Au-delà de ces résultats, le coût pour l’entreprise est réalisé sur une base « pay as you go ». Nous le faisons en réduisant nos interactions avec votre organisation, sans être intrusif (empreinte réduite sur votre organisation), dans un contexte international (les taxes et les lois sont locales).
Avec le digital, on peut obtenir des résultats sur des centaines de systèmes, intégrer l’arrêt des applications, gérer les systèmes SAP mais aussi les systèmes non-SAP, et commencer à utiliser une partie des technologies d’intelligence artificielle.
Thierry se réjouit de poursuivre la discussion. Connectez-vous avec Thierry Julien sur LinkedIn .
